En 1964, en publiant La Cité et l’homme, Léo Strauss plaçait le nœud de la question politique dans l’inévitable tension existant entre l’homme, en tant que sa fin d’animal rationnel lui est propre – de la même manière que le salut est individuellement l’affaire de chacun –, et la Cité, dans la mesure où l’homme, en tant qu’animal politique, n’atteint pas seul la fin qui lui est propre – de
