Génocide participatif du sexe masculin

En pleine tempête #MeToo et #BalanceTonPorc qui criminalise l’ensemble de la gent masculine,  Jean-Pierre Aussant analyse les différents thèmes de la propagande féministe (avortement, homosexualité, théorie du genre, culpabilisation des hommes) pour mettre en lumière sa finalité doctrinale.

Culture de mort féministe et génocide du sexe masculin

Le but final du complot inconscient (inconscient dans sa première phase) est la disparition totale de la moitié de l’humanité, la disparition du sexe masculin.

Un génocide parfait dans lequel ne sera pas versée une seule goutte de sang. Un génocide en douceur, féminin, fait par les femmes et accepté par les hommes. Une nouvelle tentation, une nouvelle « pomme » que la femme actuelle, ressemblant pour l’occasion étrangement à la « Ève biblique », croquera à pleine dent.

Un génocide pour le bien de l’humanité, débarrassée enfin des vrais méchants enfin identifiés « les hommes ».

Oui, un génocide « participatif » en cela que les victimes, de concessions en concessions, finiront par être consentantes. Les deux conditions sine qua non à sa bonne réalisation correspondent au credo fixatif de la femme « post-moderne » dont la substantifique moelle se situe dans l’intégrisme féministe de combat (de plus en plus lesbien) planétaire : La déculpabilisation absolue de l’avortement et de l’homosexualité.

Cette double déculpabilisation étant l’outil « technique » indispensable à la mise en application de l’entreprise de mort globale.

  • L’avortement sélectif permettra d’éliminer, d’une façon quasi inaperçue, les fœtus masculins.
  • L’universalisation de l’homosexualité qui est le vrai but du mariage « pour tous » et de la « théorie du genre », stoppera, quant à elle, la reproduction naturelle de l’espèce et notamment des hommes.

Seules les femmes (pour des raisons de biologie évidentes) pourront par insémination artificielle et plus tard le clonage, se reproduire.

Un complot «inconscient»

Si ce complot est «inconscient », c’est que l’immense majorité des femmes, y compris des féministes les plus en pointes, n’ont pas idée des finalités ultimes de leur entreprise. C’est un peu comme si elles étaient animées, à leur insu, par un désir irrésistible et satanique de rejeter le grand « autre », c’est-à-dire le sexe opposé.

Peut-être, peut-on y voir une volonté de « toute-puissance ». Un désir d’autonomie dans la reproduction. Rejeter l’autre, pour devenir soi-même « Dieu ». Mais cela reste, pour elles, encore diffus. Ce complot, en effet, restera encore pour quelque temps « inconscient ». Cette inconscience même, en est sa force. C’est ce qui le rend inexorable car il est poussé par une vague de fond. Quand il deviendra conscient, et certains signes commencent à frétiller dans ce sens, il sera déjà trop tard pour enrayer cette entreprise de mort qui, par ailleurs, se présentera comme « salutaire ».

Chronologie de l’éradication du sexe masculin

La chronologie d’éradication du sexe masculin devra passer nécessairement dans un premier temps par un changement radical des codes éthiques qui bon an mal an ont régi la civilisation occidentale jusqu’à présent. C’est qu’il convient de rendre ce génocide « acceptable ». Il convient de le déculpabiliser. Cela implique, entre autres, la nécessité de faire disparaître les grandes religions monothéistes ou à tout le moins, de les vider de leur substance, de les « javelliser ». Autrement dit, le génocide culturel précédera le génocide tout court. Cela est la condition sine qua non quant à sa bonne réalisation.

« Défaire » la Création

La réalisation de l’indifférenciation universelle (Vieux rêve de Satan) qui est au fond la finalité du «complot inconscient» n’est pas à mettre dans la catégorie des complots minables « de plus » qui seront emportés par l’histoire. Il n’y aura justement jamais rien de plus grave que ce complot. Il s’agit ici d’aplatir en « dé-nommant », ce que Dieu crée en « nommant ». C’est à dire, in fine, d’effacer la création (Si c’était possible) et d’effacer la frontière entre le bien et le mal (Et cela est infiniment et essentiellement plus grave que toutes les guerres et les viols dont l’histoire des hommes est parsemée).

L’équation génocidaire : A+B+C+D=M

Si M est égale à la culture de mort, alors A+B+C+D=M

Lame XV du tarot. L’androgyne, figure traditionnelle du démon.

Extrait inédit du Complot inconscient
En réalité, la fixation de l’intégrisme féministe lesbien à l’endroit de la théorie du genre s’explique facilement. C’est que cette théorie est une condition essentielle à l’universalisation de l’homosexualité. Son but caché est de mener à l’androgynie « pour tous ».

Le développement de l’androgynie petit à petit détruira la libido hétérosexuelle ce qui, à son tour, conduira à l’homosexualité « pour tous » (vrai but du mariage « pour tous »).

Les homosexuels ne pouvant pas se reproduire entre eux, l’idée du clonage deviendra non seulement acceptable mais elle sera même « vendue » comme un désir de sauvegarder la vie créée par Dieu (sic). On retrouve ici à nouveau le vieux thème anti-christique de l’imitation de Dieu. Copier l’œuvre de Dieu en la dénaturant en son contraire. C’est à ce moment que le génocide cessera d’être inconscient pour se transformer en génocide « participatif ».

Au fond, il sera demandé au sexe masculin d’approuver un système qui tout en le condamnant à mort et à la disparition définitive, sera présenté comme une généreuse philosophie dont le but est de sauver la vie.

Oui, le fin du fin dans l’ignominie. La culture de mort féministo-satanique planétaire après avoir, en imposant la théorie du genre, contraint les hommes à se féminiser et à « s’homosexualiser » et donc à perdre leur désir à l’endroit des femmes, les amènera à porter la responsabilité de l’effondrement de la libido hétérosexuelle. L’homme « post –moderne », désormais homosexuel, sera sommé de creuser sa propre tombe avec le sourire, d’une façon participative et consentante, et cela pour sauver l’espèce humaine. Pas mal, non ? On lui dira :

Toi qui es devenu homosexuel et qui es de toute façon incapable dorénavant d’assumer la reproduction de l’espèce, toi qui as opprimé les femmes pendant les millénaires, rachète-toi, fais au moins l’effort de « crever » dans la bonne humeur, sois politiquement correct jusqu’au bout, disparais et approuve le clonage des femmes .

Voici l’équation de la culture de mort qui permettra l’éradication progressive et en douceur du sexe masculin :
A = (Déchristianisation ⇒ destruction de la famille ⇒ Théorie du genre ⇒ androgynie « pour tous » ⇒ destruction libido hétérosexuelle ⇒ homosexualité pour tous)
B = (Déculpabilisation de l’avortement ⇒ avortement sélectif concernant les embryons masculins)
C = (« Universalisation-déculpabilisation » du clonage pour les femmes)
D = (Génocide participatif du sexe masculin ⇒ survie exclusive du sexe féminin ⇒ indifférenciation « pour tous »)
M = (victoire de la culture de mort avec l’universalisation de l’indifférenciation dont le but ultime est l’indifférenciation entre le bien et le mal, aplatissement suprême de l’œuvre de Dieu)

L’équation finale de la culture de mort :   A + B + C + D = M

Tout devient maintenant clair. Comme dans un puzzle sémantique infernal, les mots fixatifs du politiquement correct lesbien prennent soudainement un sens et s’assemblent mystérieusement pour former un tout cohérent. Chaque mot, chaque concept, étant indispensable à la survie de l’autre. Pas d’avortement sans déculpabilisation, pas de déculpabilisation sans déchristianisation, pas d’effondrement de la libido hétérosexuelle sans universalisation préalable de l’androgynie, pas d’androgynie à grande échelle sans la propagation de la théorie du genre etc. L’intention cachée apparaît désormais au grand jour. Encore un peu de temps et le complot sera conscient.

Clin d’œil théologique pour les catholiques

Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, un des deux sexes (en l’occurrence le sexe féminin) va pouvoir par le clonage, se reproduire tout seul. Le Démon, toujours à l’affût pour corrompre et enorgueillir le cœur de l’être humain, ne peut pas rater cette occasion, elle est trop belle. C’est pourquoi, il va nécessairement « suggérer » à la femme de continuer le chemin de la reproduction humaine toute seule lui faisant ainsi croire qu’elle pourra devenir elle-même son propre « Dieu ». Marie, la Sainte Vierge a été l’élue de Dieu pour la gratuité et la vie ; la femme post-moderne, désormais féministe et lesbienne, sera l’élue de Satan pour l’orgueil et la mort. Pour autant et bien évidemment, à la fin des temps, il y aura parmi les élus autant de femmes que d’hommes. http://www.edilivre.com/le-complot-inconscient-jean-pierre-aussant.html

Une théorie d’anticipation sur le futur de l’humanité

Cet essai n’est pas une énième dénonciation du complot « judéo-maçonnique » ou une énième dénonciation de la féminisation du sexe masculin. Le Complot inconscient concerne le déchaînement final de Satan contre la création. Cette théorie n’est pas un rapport sur « l’état des lieux » actuel de la culture de mort ambiante (même si elle s’en sert) mais une théorie d’anticipation sur le futur de l’humanité.