Le 13 juin 313, par l’Édit de Milan (cf. > ici et > ici), l’Empereur Saint Constantin 1er le Grand avait mis fin aux persécutions contre les chrétiens. Soixante-sept ans plus tard, par cet Édit de Thessalonique, l’Empereur Saint Théodose 1er le Grand interdit tous les cultes païens dans l’Empire et fit du christianisme la religion officielle et unique de l’État.
Cette date est grande.
Cette date est importante.
Cette date réconforte et réjouit les âmes de tous ceux qui sont profondément attachés à Notre-Seigneur Jésus-Christ, à Sa royauté, à Son triomphe, à Sa gloire, à la ruine des fausses divinités dont le culte est inspiré par satan, et au salut des âmes.
En revanche, cette date est honnie des impies et des modernistes.
Sous le fallacieux prétexte d’ « une Église libre dans un État libre », et donnant une fausse interprétation de la parole de Notre-Seigneur Jésus-Christ : « Rendez donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (Matth. XXII, 21), ils oublient – ou feignent d’oublier – que César lui-même a des devoirs envers Dieu et n’est pas dispensé, dans son rôle même de César, de se soumettre à Ses commandements et d’obéir à Ses lois.