112ème Pèlerinage Légitimiste à Sainte-Anne d’Auray

Le pèlerinage à Sainte-Anne-d’Auray, comme chaque année, a été un moment de ferveur qui nous
engage à continuer le combat pour Dieu et le Roi !
La Bretagne est fière d’accueillir sur ses terres la plus ancienne manifestation de fidélité aux rois
légitimes qui dure encore aujourd’hui.
Comme les années passées, nous avons marché le samedi après-midi alternant chapelet, cantiques et
chants royalistes.

Arrivés au sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray nous avons récité le chapelet autour
de la fontaine où eurent lieu les apparitions de sainte Anne à Yvon Nicolazic (« Me zo Anna, mamm
Mari / Je suis Anne, mère de Marie »).

Le soir, après un dîner tiré du sac, nous avons écouté la conférence de notre aumônier, le père Jean-
Marie de la Fraternité de la Transfiguration, sur la vocation religieuse.
Pour animer ensuite la soirée, Louis-Antoine, « le troubadour de Notre-Dame », nous a interprété
quelques unes de ses chansons.


Le dimanche matin le président de la FBL a renouvelé la consécration de la Fédération Bretonne
Légitimiste à sainte Anne devant son autel dans la basilique.
Puis la messe chantée a été célébrée dans la chapelle du Champs-des-Martyrs, par le Père Jean-Marie.
À l’issue de la messe, le président de l’Union des cercle légitimiste de France renouvela la
consécration au Sacré-Cœur et au Cœur Immaculé de Marie de L’UCLF et de La Gazette Royale.

Puis, au monument du comte de Chambord, le dépôt de gerbe a précédé les allocutions du président de
la FBL et du présidents de l’UCLF.


Après le déjeuner, Monsieur Jean Guillot, auteur de plusieurs ouvrages sur la chouannerie en
Bretagne, a donné une conférence sur Grandeur et déboires de la chouannerie dans le Morbihan
(1790 – 1804).
Signalons également la présence de différents stands de livres, dont celui de La Gazette Royale, et
d’éditeurs comme Les Bons livres pour tous et Edilys.
Après une brève conclusion, ce pèlerinage annuel et légitimiste s’est terminé avec l’envie de revenir
encore plus nombreux les prochaines années.

Cercle Georges Cadoudal