… Eh quoi ! on inspire à votre jeunesse catholique la défiance envers l’Église, sa mère ; on lui apprend que les grands évêques et les grands monarques, qui ont créé et si glorieusement gouverné la France, n’ont pas su donner à leur peuple ni la vraie justice, ni le vrai bonheur. Le souffle de la Révolution a passé par là (…) Qu’ils (…) soient persuadés (…) que, de tous
